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Afin de profiter au mieux des quelques 300 objets promis lors de l’exposition du Palais des Beaux Arts de Lille, la toute nouvelle et non moins dynamique Université du Temps Libre de  Valenciennes propose à ses adhérents une conférence mettant en lumière le contexe historique du règne de Sesostris III. De fait, ce grand règne constitue un apogée d’une période non moins brillante, le Moyen Empire.  Nous mettrons en lumière tout l’apport des rois civilisateurs de ce Moyen Empire, leur dynamisme économique, avec la mise en valeur de nouvelles terres agricoles dans la région du Fayoum, leurs nombreuses expéditions commerciales et l’intensive prospections et exploitations minières. Cette richesse

Cette reine a encore séduit son public : son règne exceptionnel offre autant de beautés que de matière à réflexions. Ses innovations marquent durablement cette période glorieuse que fut le Nouvel Empire et qui nous amena les Ramsès !  A bien faire attention, ils lui doivent tellement ! Leur nouvelle nécropole de la Vallée des Rois à Thèbes, leur nouvelle architecture funéraire en hypogée, leurs grands Temples des Millions d’Années qui se dressent majestueusement le long de la vallée du Nil, lieu de culte à la puissance du Ka royal, l’embellissement progressif de Karnak, mais aussi leur politique impérialiste : tous les produits des terres étrangères sont déposés au pied

Cette conférence a permis de présenter les grands principes religieux de la civilisation égyptienne. Si nous n’ignorons pas le concept de « vie après la mort », la notion de religion non révélée ne nous est pas familière. La religion égyptienne se crée au fur et à mesure de ses besoins et de ses observations. Si nous ne pouvons donc pas partir de ce que nous savons pour comprendre les Anciens Égyptiens, en revanche, ils nous ont tant apporté : la conception trinitaire du divin, le jugement dernier, des images religieuses telles que « l’Immaculée conception », « la vierge à l’enfant », « St Georges terrassant

C’est avec un très grand plaisir que, sur une demande privée, j’ai eu l’opportunité d’organiser deux jours de conférence-débat égyptologiques, en petit comité et entourée de passionnés. Nous avons consacré la première journée aux connaissances générales de la civilisation égyptienne, sa culture et son histoire. Forts de tous ces repères, le lendemain, nous avons pu approfondir certains sujets. La matinée a été l’occasion de se plonger dans les origines historiques et culturelles de l’Égypte pharaonique, en s’attachant aux périodes préhistoriques, prédynastiques et protodynastiques pour comprendre l’avènement de l’Ancien Empire. Pour terminer cette immersion dans l’univers de l’Égypte Antique, nous avons choisi de lire le papyrus funéraire

Maât est le nom que les Anciens Égyptiens donnaient à la divinisation du concept de l’Ordre absolu. Elle symbolise la puissance régissant l’ensemble des normes comportementales visant à préserver le monde parfait, tel qu’il a été créé la première fois, et régénéré chaque jour par le dieu démiurge. Tout ce qui irait à l’encontre de ces lois serait une ouverture au désordre, au retour du chaos originel, à la fin du monde créé. Le respect de Maât étant dû à l’égard de tous les domaines d’existence, elle affecte les comportements de tous, que ce soit dans leurs relations entre eux, avec

Selon le même canevas que l’ouvrage sur l’Égypte Ancienne, des énigmes, des indices, des jeux et anecdotes pour se plonger dans l‘univers médiéval français, tout en s’amusant. Une façon légère et néanmoins sérieuse de ne pas éviter les Pépins et autres Carolingiens !

Cette conférence a été élaborée pour le 800e anniversaire de la nation mongole, qui avait été fêtée en mai 2006, dans les locaux de l’association Guillaume de Rubrouck, en partenariat avec l’association Nord Mongolie présidée par l’ethnomusicologue Alain Desjacques. Il s’agissait de comprendre pourquoi un Etat qui prend son autonomie de la Chine en 1911 choisit le quriltaï de 1206 de Gengis Khan pour célébrer son existence. Est-ce pour commémorer la gloire passée d’un empire surpuissant ? D’autres empires des steppes s’étaient déjà illustrés des siècles plus tôt. Il s’agissait donc comprendre les ressorts de l’oeuvre de Gengis Khan qui a su rassembler et fédérer

Nous sommes souvent poursuivis par l’image d’une civilisation égyptienne « toute construite », « toute dessinée » à l’aube même de son histoire. Et pourtant, la pyramide, symbole le plus explicite et le plus puissant du caractère solaire du pouvoir pharaonique, naît d’un processus architectural, certes rapide, mais qui s’appuie sur les structures funéraires ancestrales, le mastaba royal. Comment ? Pourquoi ? Cette étude permet de comprendre les ressorts de la théocratie pharaonique, non seulement à la racine de la civilisation égyptienne, mais également à l’aune de la religion dans son sens premier du terme (religere « relier » les hommes entre eux), exprimés dans leurs aspects les plus sociaux du